Combien sommes-nous à nous plaindre du mal de dos ? Combien de fois on s’en plaint par jour ? Combien de fois on a promis d’aller voir un médecin ? Et combien de fois on a changé d’avis sous prétexte que la douleur est passagère ?
Mais pourquoi faisons –nous marche arrière ? Pourquoi changeons-nous d’avis ?
Avons-nous peur de parler de notre douleur ? avons-nous peur de découvrir et surtout de mesurer la gravité de cette douleur tolérée pourtant intolérable ?
On voudrait bien aujourd’hui répondre à toutes ces interrogations pour ne plus accepter de subir un mal de dos de crainte qu’il soit grave ou incurable.
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Se plaindre du mal de dos et se taire, une dérive !
Combien on a laissé passer une douleur sans lui prêter attention, en se disant qu’elle allait être passagère mais elle a fini par nous être handicapante, en effet beaucoup de personnes se sont retrouvées immobiles après avoir refusé d’écouter leur corps et la douleur grandissante, aujourd’hui ils souffrent d’incapacité mobile ,et ils ne leur restent que des regrets tardifs car le dos est une partie du corps très importante pour seulement être la zone porteuse de la colonne vertébrale, pour cette raison il ne devrait pas être ignoré, les complications sont difficiles a traiter, et les professionnels de la santé tire la sonnette d’alarme sur ce sujet pour arriver à sensibiliser les gens de tout âge.
Taire un mal de dos, c’est l’aggraver
Les gens qui font en sorte de supporter le mal de dos sont souvent des personnes très occupées par leurs taches quotidiennes professionnelles ou familiales et laissent en dernier leur douleur grandissante en pensant qu’elle est due à la fatigue parfois et en pensant autre fois qu’elle pourrait être source d’un mal plus profond qui bouleverserait leur vie une fois découvert donc ils se réfugient dans le silence, ils préfèrent taire leur douleur pour continuer à assumer leur taches et obligations sans savoir malheureusement que l’arrêt de toutes leurs activités est imminent car la mal de dos est grandissant et endommage leurs santés et cela induit inévitablement à la diminution voire a l’annulation de toutes les taches assurées précédemment car le mal est fait : le mal de dos a pris des dimensions intolérables et inversibles.
Le mal de dos et l’écrivain
Il a souvent été remarqué que les écrivains avaient le dos courbé, et on a toujours associé cette forme à leurs postures, assis derrière une machine ou un ordinateur pendant des heures à tracer des lignes et à tisser des histoires pour le bonheur des lecteurs, seulement on a jamais su expliquer cette posture-là, qu’on qualifiait même de la posture des intellectuelle.
En fait, ce n’est que la position trouvée par les écrivains pour contrer le mal de dos qui les terrasser pendant les moments d’écriture, alors ils se penchaient sur leurs machines en pensant pouvoir éviter la douleur, mais cette dernière s’accentuer et pire encore entrainer d’autres mal, mal de dos et de forme !